MAUN – KHWAI – SAVUTI – MOREMI – MAUN
Samedi 17 et dimanche 18 juin
En route vers la rivière Khwai et Savuti sauf que… l’appel du pain au chocolat a été plus fort que celui du lion de Savuti ! Direction d’aéroport chez le Duck ( Merci Lulu pour l’info gourmande)
C’est carrément gros, carrément gras, carrément bon !
C’est donc l’estomac légèrement rempli que nous partons vers Khwai. 140 km de piste avec de la tôle ondulée et toujours pas de sable profond pour Yannick.
Mais avant il faut faire le plein des 4 reservoirs.
Nous passons deux jours au camp de Magotho. Côté animaux, beaucoup mais beaucoup d’éléphants. et de gros éléphants.
Aussi des oiseaux que nous n’avions encore jamais vus. Une grue à cou blanc
Un bateleur des savanes.
Un Coucal des papyrus.
Un Ibis hagedash
Les antilopes que nous connaissons bien , les Cobe Defassa toujours magnifiques.
Une antilope jamais vue, le Sassabi, également appelé le tsessebe ou le damalisque commun.
Le Rollier à longs brins toujours aussi photogénique.
Le Martin-pêcheur pie est tout aussi beau.
Mon gros dindon préféré le Bucorve du Sud.
Changeons un peu de registre, des hippos en pagaille.
Ils me font penser au rochers de Trébeurden en Bretagne .
Inutile de vouloir aller faire trempette !
Nouvelle antilope encore, la Kobus leche
Et celle ci, vous vous en souvenez ?
Ici je ne fais pas les présentations. Il y en avait aussi beaucoup .
On retourne dans l’eau. Ici un nouveau pour nous, soit le Varan du Nil ou le lézard de Moniteur. Si vous le reconnaissez dites le moi.
Coucou, les revoilà.
Il ne faut pas oublier les habitués, aigrettes, ibis, hérons,
Jacana et cormoran
Retour au camp avec nos amis.
Lundi 19 juin
Voyons qui est venu nous rendre visite cette nuit , surprise ! ( la caméra n’est pas à la bonne date)
Une belle hyène.
Lundi 19 juin
Nous avons toujours nos visiteurs du petit déjeuner. La calao à bec rouge sans doute le plus chapardeur.
Le Cratérope fléché (Turdoides striata) a un plumage caractéristique. Son dos est brun-olive et son ventre est strié de noir. Cette combinaison de couleurs le rend facilement reconnaissable
Le Francolin à bec rouge
Départ du camp et nous montons vers Savuti sans doute la partie la plus célèbre de Chobe. 66 km de piste pour y parvenir sans beaucoup d’intérêt et toujours pas de sable profond !
Nous avons du bois sur la galerie et un morceau est tombé juste sur la poignée arrière et l’a tout simplement cassée.
Avant d’arriver au camping Yannick prépare deux morceaux de tôle coupés dans une poêle qu’il avait acheté pour réparer la poignée de mon côté qui ne tenait plus à cause des policiers kinois qui veulent souvent entrer de force dans les véhicules.
Pourquoi avant le camping ? Je doute que le bruit d’une disqueuse soit très apprécié !
Je surveille quand même les environs on ne sait jamais !
Nous arrivons au camp et à la réception cela a été plutôt sportif. À la gate nous avons réservé un jour et deux nuits, impossible de confirmer, car leur système de communication bug. Le monsieur me dit gentillement que ça ne pose pas de problème.
Nous voici donc à la réception du camping. La réservation ? Ha oui et bien le système ne fonctionne toujours pas. Au bout de 15 minutes au moins, la jeune femme me dit : « OK pour deux nuits. » Pour le paiement ? en Pula ou Rand ? Je lui propose par carte visa. Niet pas de machine. Je propose en US dollars, c’est d’accord. Notre demoiselle me fait le calcul en Pula et m’annonce un 200 US dollars !!
Ok, nous allons refaire les calculs ensemble. Le camp est à 50 USD/ nuit, mais nous sommes SADC, ah, elle avait oublié, c’est donc 40 USD + des petites taxes… nous finissons par un 84 usd. Je lui donne 100 usd, pas de monnaie forcément. Elle me dit qu’elle doit se renseigner pour le taux et qu’elle viendra à notre emplacement soit nous rendre la monnaie, soit donner un autre tarif !
Juste à côté je dois payer le permis pour le deuxième jour. Par carte c’est possible ici mais la machine doesn’t work ! Ça sera pour demain.
Nous nous installons enfin, l’emplacement est très grand. Nous partons vite à l’assaut de ce nouveau parc.
A peine 10 minute plus tard, bam un léopard. Quelques minutes plus tard 6 voitures avec guide arrivent. Notre présence semble agacée certains guides, d’autant que Yannick a été plus le plus futé et nous sommes aux premières loges. Un guide a tenté de passer et a failli se renverser dans un trou d’éléphant. Un autre klaxonne, et alors, nous sommes sur la piste , il veut quoi le monsieur ? Yann gère une nouvelle fois le déplacement du léo et avance en laissant la place aux guides qui s’engouffre derrière nous. Seulement voila Léo nous suit !! c’est dingue et nous sommes encore juste à côté.
Il finit par disparaître dans le bush.
Juste à coté nous avons un beau buffle.
Nous rentrons tout content de cette première journée.
Au camp, nous voyons notre demoiselle venir vers nous. Elle donne 20 usd à Yann au lieu de 16 ! OK c’est parfait.
Belle soirée. On ajoute du caca d’éléphant comme combustible.
Avant de se coucher j’installe la caméra trappe.
Mardi 20 juin
Alors qui est venu hier soir, voyons un peu …mais qu’est-ce que c’est ? D’après mes recherches ça serait une civette , je ne pensais pas que c’était aussi gros. Si je me trope dites le moi.
Yannick termine de réparer la porte et voila article 15 en action .
Nous repartons après un bon petit dej comme d’hab.
Premier waterhole, Des éléphants dont certains sont un peu excités.
Nous laissons la petite famille tranquille et continuons notre route.
Le paysage change c’est plutôt sympa.
Deuxième waterhole, la Marabou Pan, ah ici il y a plus de monde. Beaucoup de voiture avec guide aussi.
Les girafes toujours avec leurs positions acrobatiques pour boire.
Une voiture vient à côté de nous et nous dit qu’il y a 9 lions juste à côté. Demi-tour et effectivement ils sont là, couchés avec des petits. Un guide se joint à nous et avance plus prés. Nous faisons pareil, il nous dit rien. C’a n’est pas vraiment la piste mais c’est tout comme.
La voiture du guide s’en va, nous restons sur place. Une autre voiture guide arrive et sans un bonjour nous dit que nous n’avons pas le droit d’être là, c’est réservé aux guides ! Nous sommes juste à côté de la piste mais OK. Yann le reconnaît, c’est un guide d’hier soir, pas aimable le monsieur. Nous repartons vers le waterhole à 50 m. Nous faisons des aller et retour entre les lions et le trou d’eau.
Il y a une girafe qui se fait littéralement harceler par les oiseaux à bec rouge.
Très mignon ce petit Eurocéphale à couronne blanche.
Nous retournons voir les lions. Ça pionce !
Ça boit.
Ça joue.
Nous repartons au trou d’eau à côté. Maintenant les girafes s’adonnent à un drôle de jeu
.J’ai un peu creusé pour en savoir plus.
Tout d’abord ce jeu de tête est un comportement naturel chez les girafes et fait partie de leur développement et de leur interaction sociale.
C’est peut-être un salut, car elles utilisent différentes formes de salutations ou de signaux de communication entre elles. C’est sans agressivité et cela peut servir à différentes choses.
- La Reconnaissance : Elles utilisent le salut de la tête pour se reconnaître mutuellement.
- Développement des compétences : Les jeunes girafes utilisent ce jeu pour développer leurs compétences de combat et de communication. Cela leur permet d’apprendre àinteragir avec d’autres girafes, à estimer la force de leurs coups et à s’adapter aux comportements sociaux de leur espèce.
- Renforcement des liens sociaux : Cela peut contribuer à renforcer les liens sociaux entre les girafes. C’est une forme de jeu amical qui favorise la camaraderie et la coopération
- Expression de l’enthousiasme : Surtout chez les girafons, peuvent manifester leur joie.
- Dominance: Parfois, elles peuvent se battre pour défendre leur territoire, leurs zones d’alimentation ou leurs sources d’eau. Lorsqu’il y a une pénurie de ressources, les girafes peuvent devenir agressives et se donner des coups de cou pour établir une dominance et obtenir un meilleur accès à la nourriture. Ici ce n’est pas le cas.
- La reproduction : Pour conquérir sa belle lors de cette période les mâles girafes peuvent se livrer à des combats impressionnants et spectaculaires. Ils se lancent des coups de patte et se battent avec leur cou pour faire tomber leur adversaire et triompher.
Ce jeu de tête des girafes se déroule généralement de manière douce. Les girafes utilisent leur long cou et leur tête pour se toucher légèrement, sans causer de blessures graves. Ce comportement contribue à renforcer les liens sociaux et à maintenir une atmosphère harmonieuse au sein du groupe.
Eh bien voila j’en sait un peu plus.
C’est vraiment très beau.
Toujours aussi belles ces Impalas à face noire
Un coucou aux lions. Tiens, certains sont réveillés
Une autre baille au corneille et se recouche.
Un dernier tour au point d’eau ?
Une belle famille phacochère
On passe dire bye bye aux lions non ?
Nous rentrons au camp en compagnie des éléphants.
Nous croisons un bel Hippotragus Equinus ( antilope cheval )
Encore une bien belle journée.
En fin d’après midi, visite de Babar encore, c’est normal et courant au Botswana, mais nous sommes toujours impressionnés surtout depuis que celui de Nxai Pan a plié notre fauteuil !
Celui vient manger des graines d’acacia, il a secoué énergiquement l’arbre et le caviar est tombé, il paraît qu’ils en raffolent. Il a tout attrapé délicatement et est parti voir les voisins. Pas le temps de faire de montage vidéo , je vous mets celles ci car elles sont courtes et avec la connexions lente c’est mieux!
Soirée tranquille au coin du feu, installation de la caméra trappe et au dodo.
Vers 11 h nous sommes réveillés par un boucan juste à côté de la voiture. Yann se lève et m’appelle : « gg vient voir » Un ratel. Il a basculé la poubelle et a sorti un pot de mayonnaise. Il le jette plusieurs fois et après quelques secondes il parvient à ouvrir le pot !
Ensuite c’est la dégustation qui commence
Mercredi 21 juin
Vite la camera trappe alors ?
Le ratel et un chacal.
Nous faisons le plein d’eau et en filtrons 25 l pour la potabiliser.
Nos chapardeurs toujours fidèle au poste.
A Maun, Marie et Rémi nous ont montré une boucle qu’ils aimeraient faire. Rémi précise qu’il y a du sable profond. Aie aie …ça pétille dans les yeux de Yannick, enfin du sable ! Je regarde Marie et lui dit : « c’est certain on va y aller ! » quelques secondes plus tard j’entends mon pilote « gg, on va la faire la boucle, ça va être sympa ! » Évidemment on va faire la boucle
Voici donc ce que nous souhaitons faire …à la recherche du sable profond.
Arrêt à la réception pour payer le permis d’hier. J’en profite pour demander des informations sur la piste que nous voulons emprunter car la parie en rouge n’est pas clair. Sur l’appli 4×4 il est annonce qu’un pont est écroulé. La dame de la reception demande des infos à un guide. Il ne sait pas, en fait personne ne sait, la seule chose qu’ils me disent c’est : « attention deep sand » OK c’est tout bon alors, mon pilote va être content, enfin du sable. et pour le pont s’il est écroulé soit on passera à coté , soit on fera demi-tour.
Et c’est parti pour de nouvelles aventures. Un Kudu et les gnous sur notre route toujours très agréable à voir.
La piste est normale pendant 10 km et lorsque l’on sort des pistes traditionnelles tout change
Et enfin du sable profond, il faut même jouer de la machette !
Nous arrivons au fameux pont cassé. Effectivement il n’y a plus de pont mais pas d’eau dans la rivière donc ça passe. En saison des pluies par contre pas certaine que ça passe.
Le paysage change encore.
Nous arrivons à l’intersection ou nous devons aller vers l’ouest. Hum, hum Yannick ne sent pas bien cette piste, c’est une piste à camion et au début du moins elle est encaissée dans du bush et des arbres touffus. Nous ne la prenons pas et nous descendons par une autre piste directement vers le sud. Nous apprendrons plus tard à Maun que nous n’aurions pas pu y passer, car il y a des réserves privées. Pas de regret .
Pas grand chose à voir et rien de spectaculaire, ah si, peut la girafe qui a été à deux doigts de nous tomber dessus.
Nous arrivons à Khwai et décidons de rester sur Moremi, ça serait dommage de ne pas le faire. Nous installons au Xwabaxwa camp à 5 km de la gate du parc. Le camp est non clôturé comme d’hab et nous sommes tout à coté d’un bras de rivière ou barbotent gentiment des hippos.
Une personne du staff nous apporte du bois, il ne fait pas froid c’est plutôt pour éloigner les animaux, éléphants, hippos, hyènes …
J’installe la caméra trappe et dodo
Jeudi 22 juin
Bingo, hippos
Petit déjeuné, petit café au bord de l’eau et vite vers Moremi…
Et bien NON il n’y aura pas de Moremi aujourd’hui.
Pourquoi ? Le neiman est bloqué, rien qu’ça ! Très bien, très bien, calmement et sans trop parler on réinstalle la table, on descend les fauteuils, etc. et quand « faut y’aller, faut y’aller ! »
C’est parti pour une opération à cœur ouvert du tableau de bord. Comment peut-on entreprendre une opération d’une telle ampleur, je me le demande, mais je n’ai aucune crainte il va y arriver ! tiens nous avons de la compagnie, il ne manquait plus que ça !
La position est inconfortable au possible.
Yann décide de virer le siège, le volant, et tous les accessoires qui le dérange. Quand je viens discrètement prendre des photos je reste pantoise mais pas inquiète.
Toujours avec des positions …
Plusieurs coups de marteau et tournevis plus tard à 10h43 exactement le neiman est débloqué. Ouf, seulement on ne peut pas retirer la clé , elle doit rester seulement en position accessoires, sinon paf, ça bloque.
Il s’agit maintenant de tout remonter. À un certain moment j’entends « mais quel con, mais quel con j’ai coupé le fils de la climatisation » ah oui là par contre pas bon. Il faut trouver d’autres câbles pour allonger le fils que Yann a coupé au ras.
Il faut trouver d’autres câbles pour allonger le fils que Yann a coupé au ras. Opération soudure à l’étain pour finir l’opération.
L’explication plus technique que la mienne.
Voilà c’est terminé, et surtout ne pas oublier de ne pas fermer le contact complètement , surtout ne pas oublier …oui mais
Soirée au coin du feu et au lit
Vendredi 23 juin
Cette fois c’est Moremi.
Le paysage est encore différent et nous le préférons à Savuti .
Qu’est ce qu’ils sont beaux et loin !
Ils sont suivis de près par une armée de babouins.
Et regardez un peu cette petite hirondelle à tête rousse, tellement mignonne.
Je sais vous l’avez déjà vu mais il est tellement beau, vous souvenez de son nom ? oui , le rollier à longs brins.
Qui sont c’est deux bébés? ce sont deux petits jacanas.
Nous continuons tranquillement et soudain, mais c’est quoi cette tache d’herbe marron ? oh, oh, oh
Nous reculons et prenons la piste perpendiculaire, il est là, tranquillement installé sur la piste.
Il ne nous porte aucune attention. Par contre, il est très concentré et fixe sans relâche une antilope qui est à environ 200 m.
Soudain il se lève, marche arrière nous le suivons. Il se met sur la pite juste devant la voiture, nous le suivons et d’un bond il saute dans les herbes. La scène dure 30 minutes environ sur une distance de 1,5 km
L’antilope plonge dans le marais, il la poursuit et plonge à son tour, nage et ressort .
Ils sont maintenant tous les deux de l’autre côté. Ce qui va suivre est totalement invraisemblable.
L’antilope repart, le lion la regarde et la suit, elle accélère, lui aussi.
Le lion passe devant un troupeau d’antilopes sans leur prêter aucune attention. Il est focalisé sur cette antilope. Yannick a remarqué qu’il était sale. Il y a dû avoir une première attaque avant notre arrivée et l’antilope peut être un peu blessée. Ces antilopes ne bougent pas d’un centimètre.
Elle retourne vers l’eau et plonge à nouveau. Le lion continue sa poursuite et plonge à son tour. C’est la panique sur la droite.
Ça continue, il sort à nouveau et replonge. Là, il semble qu’il attrape sa proie sous le regard des autres antilopes.
Soudain un hippo vient au secours de l’antilope et chasse le lion sans ménagement. Le lion fait demi-tour mais revient à la charge. Rebelote l’hippo le chasse.
L’antilope de son côté reste devant l’eau et semble vouloir défier le lion en retournant dans l’eau ! incompréhensible pour notre cerveau humain.
Et c’est ici que se passe l’impensable, nous sommes sidérés tous le deux. Je mitraille (les photos ne sont pas excellentes, nous sommes assez loin et l’objectif fait des caprices!)
L’hippo ouvre la gueule et attrape l’antilope. Avec de brusques mouvements de tête il la fait valser de droite à gauche et la plaque violemment au sol.
Elle est sans doute morte tellement la scène est féroce. Eh bien non, elle se relève doucement mais semble quand même un peu sonnée !
Elle finit par se lever complètement et rejoint le groupe d’antilope à côté. Le lion revient à la charge et attaque à nouveau.
Elle finit par se lever complètement et rejoint le groupe d’antilope à côté. Le lion revient à la charge et attaque à nouveau. On ne voit plus beaucoup après, mais nous avons vu le lion partir… sans rien ! C’est clair que l’antilope a dû être blessée donc ses jours sont certainement comptés.
Ce que nous pensons de cette scène.
– L’Hippo a fichu une raclée à l’antilope pour l’empêcher de retourner dans l’eau et se faire tuer ?
Ou
– L’Hippo a fichu une raclée à l’antilope pour l’empêcher de retourner dans l’eau, ainsi le lion libère le marais et les hippos peuvent à nouveau se baigner ?
Ou
Votre version ?
Ce qui est certain c’est que l’hippo pouvait la tuer d’un coup de dent !
Quel spectacle, nous continuons tranquillement sur les pistes.
Tiens un Pélican gris, jamais vu. C’est le plus petit des pélicans.
Un Tantale ibis qui a failli atterrir sur le dos du crocodile.
Le marabout d’Afrique
Tiens ça faisait longtemps !
Et ces deux là, toujours aussi élégantes.
Baboon sur son trône.
Sur le chemin du retour encore un beau spécimen déjà vu. Le Jabiru d’Afrique
Mais, ça sort pas que la nuit le ratel ?
Quelle bouille !
Retour au camp, quelle journée encore et ça mais ça n’est pas fini. Soufflage obligatoire et feu de bois.
Je suis dans la cuisine et Yann me dit :
– « gg, un hippo ! »
– « oui oui, je sais il navigue depuis 2 jours dans le marais »
– Non, pas dans le marais il est là, regarde derrière la porte de la cuisine ! »
Gloupss, je dégaine mon tel et je filme, c’est vrai, il est un peu près. On se salue cordialement, et il passe sa route.
Diner au coin du feu.
Départ du camp vers Maun en traversant Moremi. L’hippo vient une nouvelle fois nous saluer avant de partir.
Dernier petit tour avant de descendre vers la sud.
Un bien beau spécimen.
Sympas les papattes
Oh oh oh mais qui va là ?
Elles semble chercher quelque chose ou quelqu’un.
Elle vient face à ma portière et je crois quelle a trouvé ce qu’elle recherchait.
Et voila qui elle cherchait
Elle repart avec ses petits dans le bush.
Moremi tu nous gates. Un petit point aussi sur voiture avec guide, aucune comparaison avec Savuti. Ils sont sympas , demandent si tout bien si nous sommes arrêtés bref rien à voir. Quelques antilopes et nous quittons le parc.
La piste est plutôt agréable et les couleurs automnales sont superbes.
Nous arrivons à Maun en début d’après midi, direction le même camping que la dernière fois, le Sédia. Nous nous installons et là ,NONNNNNNNN , Yann a coupé complètement le contact. Neiman bloqué une fois de plus. Bien, demain sera un autre jour et, cette fois, Neiman va goutter à la disqueuse !
Samedi 24 juin
Opération à tableau bord ouvert. On prend le même et on recommence.
On ressort la poêle qui à servit à réparer les poignées de portes pour améliorer le nouveau démarreur.
Et voila le travail mais la clé a été améliorée dans l’après midi . Voici les 3 versions.
Nous commandons le nouveau neiman complet et partons vers le nord en attendant qu’il arrive.
Jeudi 29 juin
Vous vous souvenez, nous devions faire cette boucle mais la piste intérieure traverse des concessions private donc niet . Pas grave nous allons aller dans l’autre sens (sans traverser la concession)
Dans le prochain article bien sur .
Impressionnants, vos reportages, antuka !
Merci de les partager avec nous, vrrreman !
Profitez un MaXXXXX de ces moments privilégiés.
Merci Michel et oui on en profite un MAX!
Chouette !!!
Quelle aventure ….j’ose meme pas penser au problème mécanique avec mes grandes connaissances dans ce domaine …..ou tu prends un mécanicien avec toi … ça risque d’être serré dans la tente .. disons plutôt une mécanicienne…….ou tu triples ton niveau d’assistance !!!………..ou tu brules la voiture …..quelle patience le Yannick ….
Bises les Bretons .
Profitez…. C’est unique.
Hello David, oui il faut être patient et s y connaître beaucoup, bises
Moi, je pense que l’hippo avait envie de s’offrir une partie de ping pong, mais qu’il s’est trompé de balle.
Mais G. Darmanin nous dira certainement que c’est un problème d’ensauvagement de la société, ou Nicolas Hulot, que c’est un phénomène dû au réchauffement climatique !!! Hi hi hi….
C’est magnifique. Superbes images. Belle aventure et quel partage généreux. Merci
Merci beaucoup Martial