Du 2  au 9 fév: MOUTAIN ZEBRA – KNYSNA – GEORGE – PRINCE ALBERT 

 

 

Vendredi 2 février

Après notre passage éclair au Lesotho, nous descendons cap au sud vers le Parc National Mountain Zebra.

Des kilomètres de ligne droite !

Nous arrivons à l ‘entrée du parc et dix minutes plus tard où je ne pensais voir que des zèbres… bam, deux lionnes ! Certes, elles sont un peu loin, mais nous sommes très contents.

Nous poursuivons notre découverte à la recherche des zèbres. Pourquoi tant d’intérêt pour ces équidés que nous voyons un peu partout ? Tout simplement parce qu’il s’agit de zèbres de montagne et qu ‘ils sont différents ; donc, nous voulons voir cela.

Les zèbres sont divisés en plusieurs espèces, dont le zèbre des montagnes se distingue des autres par plusieurs caractéristiques.

Le zèbre des montagnes vit, comme son nom l’indique, principalement dans les zones montagneuses d’Afrique du Sud. À l’inverse, les autres zèbres, tels que le zèbre de plaine (le plus commun) et le zèbre de Grévy, habitent principalement dans les savanes et les zones herbeuses d’Afrique.

Il est généralement plus petit et a un corps plus trapu que le zèbre de plaine. et je trouve qu’ils ont une jolie tête d’äne avec de grands oreilles.

Ce qui frappe immédiatement ce sont les motifs de rayures. Elles sont généralement plus fines et plus nombreuses que celles du zèbre de plaine, et elles se prolongent jusqu’aux sabots . Elles s’arrètent net sous le ventre. Comme pour les autres zèbres elles sont uniques à chaque individu.

Les structures sociales diffèrent également. Le zèbre des montagnes forme des groupes familiaux restreints, tandis que le zèbre de plaine vit en grands troupeaux.

Le zèbre des montagnes est classé comme étant en danger d’extinction, avec une population beaucoup plus petite comparée aux autres espèces de zèbres. La conservation du zèbre de Grévy est également préoccupante, tandis que le zèbre de plaine est relativement plus abondant et moins menacé.

Un petit tour dans le parc .

Une Buse variable (Buteo buteo), qui est commun dans ce parc. J’ai eu le chance de m’y approcher

Beaucoup de blesboks

Le gnou noir ou à queue blanche.

Le gnou noir à queue blanche, également connu sous le nom de gnou à queue blanche (Connochaetes gnou), est une espèce caractérisée par une robe principalement sombre et une longue queue touffue blanche. Il se distingue par ses cornes incurvées vers le bas puis vers l’extérieur. Sa tête, sa barbe et les poils sous sa poitrine sont noirs. La crête de poils sur le haut de son dos est composée de poils blancs et noirs (au bout).

Mon Dieu, celui-là m’a donné du fil à retordre pour le photographier. Ils étaient souvent loin et, lorsqu’ils étaient un peu plus proches, ils se carapataient à toute vitesse en voyant la voiture. Bref, les photos ne sont pas terribles, mais c’est la première fois que nous en voyons, donc je ne peux pas faire l’impasse !

Quand je vous dis qu’ils se carapatent …

Alors par contre, ce Courvite à double collier prenait la pose !

D’un peu plus près.

Grue bleue

Un secrétaire

Nous quittons le parc en direction de Graaf Reinet . Un dernier petit zèbre et en route.

Nous campons dans le parc national de Camdeboo ( C ).Cela faisait partie de notre itinéraire, car j’avais lu ceci : « Abritant la célèbre Vallée de la Désolation, les falaises de 120 m de haut de ce monument national et les vues magnifiques qu’il offre constituent une destination incontournable pour tous ceux qui visitent ou passent par la région. »

Bien, c’est joli, la ville est sympa et le camp, mwouais …

Quelques animaux dans le parc.

Mardi 6 février

Direction le sud et la ville de Knysna.( D )

La route est très jolie.

Nous arrivons au Woodbourne camp. Il fait bon, pas de vent et jolie vue.

Mercredi 7 février

Direction le Parc national de Tsitsikamma ( E )

Le camp est pas mal , pas vraiment ce que l’on aime mais bon ça va. Il y a plusieurs rando à faire. Nous en ferons qu’une seule .

Aie aie, j’y vais ou …pas ?

Et bien oui !

Et de deux !

Jeudi 8 février

Nous repartons vers le nord , Prince Albert ( G ) et surtout le Swartberg Pass

La route méga chouette.

Nous faisons une pose « brownies » dans une toute petite ville ; De rust avec un antiquaire, assez surprenant !

Stationnée devant la boutique, une Coccinelle de 1951 qui a traversé les hémisphères nord et sud sans encombre.

Une petite visite de la boutique s’impose.

Nous nous arrêtons aussi à la cascade de Meringspoort.

Il n’ y a presque pas d’eau dans la chute !

Nous arrivons au camp à la porte du Pass.

Vendredi 9 février

Nous commençons la descente du Swatberg Pass

La suite dans le prochain article : vélo pour Yannick, conduite un peu « chaude » pour moi et, pour finir, crise d’angoisse, vertige, limite d’évanouissement. Tout cela mérite bien un autre article.

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