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Du 26 sept au 15 oct  : LOBITO – LUANDA – LUVO ( RDC) – ZONGO – M’FUTI – KINSHASA

 

Jeudi 26 septembre

Lobito vue d’en haut,  nous y restons 4 jours.

Le bateau « Zaire » toujours là . Mais pourquoi Zaire et pourquoi est-il en Angola ? Des données bibliographiques indiquent que le bateau « Zaïre » a été utilisé pour transporter l’ancien président José Eduardo dos Santos et six autres compagnons, sans les citer, au Congo Léopoldville, aujourd’hui R D Congo pour rejoindre l’Armée de libération angolaise (ELPA). , ancienne branche armée du Mouvement populaire pour la libération de l’Angola (MPLA).

Inauguré le 15 novembre 2000, le bateau « Zaïre » a fonctionné comme bibliothèque jusqu’à la mi-mars 2017, avec cinq employés, dont des bibliothécaires et des guides des visiteurs.

Depuis cette date jusqu’à aujourd’hui, il a été « à moitié abandonné » en raison du manque d’entretien et d’autres soins mérités par un symbole national, qui est le patrimoine de tous les Angolais. (Source «  Destino Benguela Angola »)

Petit retour sur Dos Santos

1942 : Naissance à Luanda ( Sambizanga), Angola.
1961 : Il rejoint le MPLA, un mouvement de lutte pour l’indépendance contre le Portugal.
1962-1969 : Il part en Union soviétique pour des études en sciences du pétrole et reçoit une formation militaire et politique.
1970 : Il retourne en Angola pour participer activement à la guerre d’indépendance contre les Portugais.
1975 : L’Angola obtient son indépendance, et dos Santos devient ministre des Affaires étrangères dans le premier gouvernement du pays.
1979 : Après la mort d’Agostinho Neto, dos Santos est choisi pour lui succéder et devient président de l’Angola.
10 septembre 1979 : José Eduardo dos Santos devient président de l’Angola après la mort d’Agostinho Neto.
Années 1980 : Consolidation de son pouvoir avec le soutien de l’Union soviétique et de Cuba. Le pays est encore en guerre civile contre l’UNITA.
1991-1992 : Des accords de paix sont signés avec l’UNITA. Dos Santos organise les premières élections multipartites en 1992. Il remporte le premier tour, mais les hostilités reprennent après que l’UNITA conteste les résultats.
4 avril 2002 : La guerre civile prend bien fin avec la mort de Jonas Savimbi, le chef de l’UNITA. Dos Santos est crédité pour avoir ramené la paix après 27 ans de conflit.
Années 2000-2010 : L’Angola connaît une période de prospérité économique grâce à ses ressources pétrolières. Cependant, l’accusation de corruption et de népotisme augmente, particulièrement en ce qui concerne la famille dos Santos, notamment sa fille Isabel dos Santos.
11 mars 2016 : Dos Santos annonce qu’il ne se présentera pas pour un nouveau mandat lors des élections prévues en 2017.
23 août 2017 : João Lourenço est élu président de l’Angola. Dos Santos quitte officiellement la présidence après 38 ans au pouvoir, mais reste à la tête du MPLA.
2017 : João Lourenço, ancien ministre de la Défense, est élu président. José Eduardo dos Santos quitte définitivement le pouvoir, mais reste président du MPLA jusqu’en 2018.
2018 : João Lourenço entre dans des réformes pour s’attaquer à la corruption et démanteler les réseaux de pouvoir associés à la famille dos Santos.
2019-2021 : José Eduardo dos Santos vit en Espagne
8 juillet 2022 : Déces de Dos Santos à Barcelone,

Mardi 1er octobre

Nous quittons Lobito direction Luanda et la R D Congo

Bien sur par directement , première halte ici , un wild camp à Cabo Ledo, la plage des surfistes.

Mercredi 2 octobre

Un petit détour quelque part vers Mirante Natural au nord du wild camp

C’est clair, il ne faut pas s’approcher trop près de la falaise !


Miradoura de la Luna

La Miradouro da Lua (ou Miradoura de la Lune) est un site célèbre d’Angola. Situé à environ 40 kilomètres au sud de Luanda, sur la route qui mène à la ville de Barra do Cuanza, ce site offre une vue panoramique sur un paysage érodé qui évoque la surface de la lune, d’où son nom.

Coté géologique, le site est formé par des falaises et des ravins façonnés par l’érosion due au vent et à la pluie au fil des siècles. Le paysage se compose de formations rocheuses de différentes couleurs, avec des teintes de rouge, d’ocre et de blanc, créant un spectacle visuel assez sympa. Le spectacle est beaucoup plus beau au lever ou au coucher du soleil.

Luanda, un peu d’histoire.

  • 1575 : Fondation de Luanda par Paulo Dias de Novais sous le nom de São Paulo da Assunção de Luanda. Il établit un premier noyau de colons portugais sur l’île du Cabo, où il rencontre une population indigène nombreuse.
  • 1508-1562 : Les Portugais tentent de commercer avec les peuples du continent depuis Sao Tomé, y compris des tentatives infructueuses d’importer des esclaves en 1508. Le roi du Congo essaie de bloquer le commerce direct entre les Portugais et les Angolais en 1562.
  • Fin XVIe siècle : Établissement européen en Angola par les sociétés blanches de Luanda et São Salvador, intégrant la religion et l’éducation européenne sous la souveraineté congolaise
  • 1603 : Manuel Cerveira Pereira explore la région à la recherche des mines de Cambambe, mais découvre que ces mines n’existent pas.
  • 1618 : Construction de la Fortaleza de São Pedro da Barra pendant l’Union ibérique.
  • 1624 : Deux tentatives néerlandaises de prendre Luanda échouent, mais incitent les Portugais à fortifier la ville.
  • 1627 : Luanda devient le centre administratif de la colonie d’Angola.
  • 1639 : Njinga du Ndongo et du Matamba devient une force significative, entraînant les efforts portugais dans la région jusqu’à un traité en 1641.
  • 1641-1648 : Occupation néerlandaise de Luanda après leur conquête réussie en 1641. Njinga propose une alliance avec les Hollandais, mais les plans sont contrariés par divers conflits et traités.
  • 1643-1648 : Escalade du conflit entre les Portugais et Njinga, avec des renforts néerlandais soutenant Njinga jusqu’à la fin de l’occupation néerlandaise en 1648.
  • 1648 : Reprise de Luanda par le Portugal avec l’aide du Brésil, dirigée par Salvador Correia de Sá e Benevides. Les Hollandais, ayant violé des trêves, capitulent face à l’assaut portugais.
  • 1655 : Njinga, repliée sur Matamba, accepte de nouvelles conversions au catholicisme, promues par prêtre les capucins, malgré son précédent rejet du christianisme. Les capucins tentent de faire de leurs missions un exemple symbolique pour la Congrégation de la Propagande de la Foi.
  • 1889 : Inauguration d’un réseau de distribution d’eau à Luanda.
  • 1910 : Suite à l’établissement du régime républicain au Portugal, le colonialisme entre dans une nouvelle phase, évoqué par les républicains pour son abandon des colonies.
  • 1919 : Ouverture du Liceu Central de Luanda, le premier lycée de la ville.
  • 1961-1974 : Période de l’insurrection angolaise. Le 4 février 1961, des attaques menées par des groupes liés au Mouvement Populaire de Libération d’Angola (MPLA) visent à libérer les détenus politiques. Ces événements déclenchent une série de violences et de représailles dans la ville.
  • 15 mars 1961 : Éclatement d’une insurrection par l’União das Populações de Angola (UPA) dans le Nord-Ouest de l’Angola, affectant Luanda qui devient refuge pour 3 850 réfugiés portugais le 21 mars.
  • Jusqu’en 1850 : Luanda sert de centre important pour le trafic d’esclaves vers le Brésil.
  • 1950-1974 : Pendant la période du mouvement de libération en Angola, Luanda est un centre d’activité politique. La guerre d’indépendance contre le Portugal affecte profondément la ville et ses habitants
  • 1975 : L’Angola accède à l’indépendance, et Luanda compte alors 600 000 habitants, dont un grand nombre de Portugais qui quittent le pays à cette époque. La République populaire d’Angola est proclamée, et de nombreux soldats cubains arrivent en soutien.
  • 1975-2002 : Durant la guerre civile, Luanda subit des attaques du FNLA et des mercenaires portugais, mais ces assauts sont repoussés lors de la bataille de Kifangondo par l’armée gouvernementale appuyée par les Cubains. La ville devient également un refuge pour de nombreux paysans, en particulier des Ovimbundu, fuyant les combats.
  • Post-2002 : Après la fin de la guerre civile, Luanda entre dans une période de reconstruction et de croissance économique rapide, stimulée principalement par l’industrie pétrolière. La ville connaît une urbanisation massive, la population de Luanda atteint environ 5 millions d’habitants en 2008.
  • Années 2010 à aujourd’hui : Population en 2023 9 292 000 hab. Luanda est régulièrement classée parmi les villes les plus chères du monde pour les expatriés, bien qu’elle ne soit pas toujours en tête de liste. Cette classification est généralement établie par des enquêtes comme celle du Mercer Cost of Living Survey. Ce classement inclue : Le logement, l’importation de biens la sécurité et services et les fluctuations monétaires. ( infos wikipédia )
    A noter que le coût de la vie élevé à Luanda est souvent spécifique aux expatriés et ne reflète pas la réalité économique vécue par la majorité des résidents locaux, qui doivent faire face à des conditions économiques tout à fait différentes.


Vous vous souvenez, le pneu neuf en faisant du jardinage, non ! regardez ici !! Nous nous arrêtons chez BF Goodyear pour en acheter un autre et découvrir la cause de la crevaison. Impressionnant, non ? Le coupable était entièrement enfoncé dans le pneu !

Un réquilibrage ne fera pas de mal à la belle

Et y’a du boulôt mais ça verdi


La « dame », bien équilibrée, nous repartons vers le nord de la capitale. Nous nous attendons à être coincés dans les embouteillages, mais soit nous avons eu de la chance , soit la circulation s’est améliorée.. . qui sait, peut-être un peu des deux !

Nous campons dans un endroit insolite, en plein centre de Luanda, le long de la petite marina du port naval. En fait, M. Jeorges Portugal (non, ce n’est pas une faute !) a aménagé un emplacement pour les Overlanders, douche chaude, électricité sur l’emplacement, un carré de pelouse, une vue imprenable sur Luanda, un restaurant à 200 mètres, et tout ça gratuitement, enfin, pas le resto quand même !. Rencontre avec Lou, Martin et leur blue truck, Arthur que nous connaissons via WhatsApp depuis quelques mois qui arrive de France, et Ilona et son mari, un autre couple allemand. Nous y sommes restés 8 jours, notre plus long séjour dans un camping !

Encore un grand merci pour votre accueil .


Regardez cette belle bordure que mon pied, équipé d’une simple tong, a pris pour une balle en mousse et a tenté de l’envoyer dans un but imaginaire ! Une douleur fulgurante m’a traversé le corps, et je n’imaginais pas qu’on pouvait avoir autant de force en marchant. Je vous rassure, la bordure n’a pas bougé… mais mon ongle, par contre a reculé d’un millimètre agrémenté d’un orteil fêlé !

Vue de notre emblacement.


Les jours défilent, et quand des overlanders se rencontrent, ça discute, inspecte, conseille, échange… Et aucune barrière de la langue ne vient perturber ces sommets internationaux improvisés ! une vis, un boulon, une clé, un amortisseur … c’est, international


On ironise sur le beau Landrover d’Arthur, qui reste imperturbable face aux sous-entendus malicieux de Martin et Yannick.


Et ensuite, c’est la palabre du chef ( en quelle langue ? , mystere !!) , tandis qu’Arthur, concentré, cherche désespérément une vis, sous les regards amusés des deux autres compères.


De notre côté, Lou, Ilona et moi échangeons nos aventures et nos itinéraires. Je leur partage tous mes plans de voyage pour les pays d’Afrique australe, comme ceux-ci en précisant bien que certains itinéraires sont un peu «  chaud » ! Nous avons effectués tous les points même ++ en Namibie !


Autre bricole : vous vous souvenez de la panne sèche à cause de la jauge du grand réservoir, non ? (Allez voir ici !) Eh bien, Yannick voulait en avoir le cœur net et a décidé de démonter la jauge . Mais bien sûr, avant ça, nous avons dû sortir touuuuus les coffres, l’alimentation, les vêtements, etc …et nettoyer le tas de sable sur l’accès de la jauge. Arthur, voyant tout ce bazar étalé sur la pelouse, n’a pas pu s’empêcher de taquiner Yannick en lui faisant remarquer que, sur un Land Rover, la jauge est bien plus facile d’accès !

Jauge démontée, le constat est simple : elle s’est cassée !  » Mais pourquoi ? C’est quand même solide, ces trucs-là, non ? » Osé-je faire remarquer avec un brin d’incrédulité.
Voyant le regard légèrement fuyant de Yannick, accompagné d’un sourire presque enfantin, je devine tout de suite qu’il y a eu une modification de la jauge d’origine. Bingo ! Il y a bien eu une modif, car — je cite — « le tamis étant difficilement accessible, j’ai donc du couper et souder la jauge différemment » Résultat : le tamis est maintenant facilement accessible, mais la jauge est cassée ! À la décharge du couteau suisse de la brousse, c’est vrai qu’en RDC, le carburant n’étant pas très propre, il faut souvent nettoyer ce fameux tamis. Quelques minutes plus tard, une petite soudure à l’endroit de la fracture, et le tour est joué ! La jauge a de nouveau retrouvé son environnement préféré : le gazole


Petit moment de relax


Et ça continue le soir avec des sessions de « technicodiscutions » !


Lundi 11 octobre

C’est le moment de se dire au revoir. Nos amis descendent vers la Namibie (les veinards !), tandis que nous, nous remontons vers la RDC. Chacun son aventure !

Un dernier coup d’oeil à Luanda et à la Land

Direction N’Zeto et un wild camp


Fini les troupeaux de zèbres, de gnous ou d’antilopes, place aux chèvres ! Et ça a aussi son charme, surtout dans un décor comme celui-ci.


Nous avons même eu droit à une livraison de langoustes, que nous avons dû décliner… parce qu’il était trop tard.

Samedi 12 octobre

Nous avions prévu de faire un dernier camp avant la frontière, mais finalement, Dame Nature en a décidé autrement ! nous décidons alors de passer directement en RDC par le poste de Luvo.

Passage frontière Angola.

Sortie immigration , pas de probleme par contre pour la voiture ! Nous sommes restés coincés 1h30 à la frontière de l’Angola parce que la voiture refusait d’entrer dans le ‘système’ informatique… Résultat, tout s’est terminé au bon vieux stylo !

Pour info : il n’est plus nécessaire de demander un visa pour entrer en Angola. Un visa gratuit d’un mois est désormais délivré directement à la frontière.

Passage frontière RDC

Oui, il faut l’avouer ! Nous nous attendons au pire, car cela fait presque deux ans que la voiture a quitté le territoire. Et, si cela se passe comme en 2016 lorsque nous sommes revenus de notre roadtrip, il va falloir palabrer et forcément… débourser !
Allez, quand faut y’aller, faut y’aller :

  1. Quelques mètres avant d’entrer dans l’espace administratif, la DGM contrôle motos, camions et voitures. 5 minutes – OK
  2. Contrôle de la DGM : Un agent prend nos passeports et nous invite à stationner pour aller sous la tente afin de remplir le questionnaire de santé. 10 minutes — OK
  3. Comptoir DGM pour récupérer nos passeports. 5 minutes – OK
  4. Photos du véhicule et des plaques (idem dans beaucoup de pays). 3 minutes – OK
  5. Désinfection des roues, 20 $ avec reçu. 5 minutes – OK
  6. « Bon voyage ! » Ok, …déja ?

Forcément, on se regarde en se demandant où va être le problème . Nous roulons quelques mètres, la barrière se lève, un autre « Bon voyage » ! Un kilomètre plus loin, je demande à Yannick : « T’es sûr qu’on est en RDC ? » — « Ben oui, ça y ressemble bien, non ! »

RESUME :
Courtoisie, professionnalisme, rapidité. Sans doute dans le top 3 des passages de frontière

Welcome to DRC


Nous stoppons sur une piste vers Lukala à coté du pipe de la SEP

Dimanche 13 octobre

Direction Zongo, avec pour objectif de reprendre la piste vers Kinshasa en passant ( piste rouge) par M’Futi, histoire d’éviter l’enfer de la N1.

Quelques mots sur cette route qui va de Kinshasa à Matadi ( le port) que nous connaissons bien. C’est la première fois que nous voyons autant de camions en panne, accidentés, renversés, des bus fracassés et détruits à 80 %, des voitures accidentées et brûlées… Mais aussi le retour de ces camions de makala (charbon de bois), chargés de passagers accrochés comme ils le peuvent. Environ 85 % des camions transportent du makala dans un état déplorable.

Cette route a toujours été dangereuse, mais elle est désormais totalement anarchique et sans aucun contrôle. Nous continuons jusqu’à Inkisi, et ces 80 km sur la N1 sont tout simplement cauchemardesques. Heureusement le paysage vient adoucir le stress .

Bon je vous en garde pour demain ! La piste d’Inkisi n’a pas changé.


Nous commençons par essayer de remonter au sommet d’une colline, comme nous l’avions fait en 2022. Impossible la piste est  » foutie » !

Demi-tour, et nous prenons la piste qui longe le fleuve. Après quelques kilomètres, il faut se rendre à l’ évidence : c’est mission impossible, la piste est totalement détruite.

Nous apprenons aussi qu’il y a un pont qui lui aussi est détruit , vrai ou faux ? on ne va pas tenter le diable, c’est demi-tour à nouveau.

Une Peugeot , bien mal en point mais elle roule encore , pas très vite certes mais elle roule .


Nous retournons donc à Zongo et on nous autorise, exceptionnellement, à camper sur la pelouse. Nous ne sommes pas retournés voir la chute, pour celles et ceux qui veulent visiter voici notre dernier visite. Chutes de Zongo 

Lundi 14 octobre

Demi- tour sur la piste de Inkisi et retour dans l’enfer de la N1

300m plus loin


Aux passages des différentes frontières, des péages ou autres, nous avons souvent vu des messages comme : « Save travel’, Save journey, Have a good trip », etc. Ici, c’est différent : au passage du péage de Kasangulu, nous avons un « welcome », « pls slow », ok mais surtout un « GOOD LUCK » qui ne laisse pas indifférent De quoi mettre en confiance mais au moins vous êtes prévenus !

Encore quelques kilomètres d’enfer avant de prendre la piste à Midenti pour nous rendre à M’Futi, l’un de nos endroits préférés au bord du fleuve. Un petit coin de paradis bien mérité après ce parcours chaotique !

La piste est sablonneuse, mais sans difficulté… enfin, d’après nos souvenirs. Mais forcément, les pistes changent, et là, le verbe  » changer » est totalement inapproprié ! Bien dommage que je n’aie pas filmé nos têtes en découvrant… ceci !

Sur environ 20 kilometres de Mitendi à M’budi


Nous sommes tellement dépaysés que nous loupons la piste de M’Futi ! Demi-tour et nous y voici


Et voici notre petit coin de paradis.


Nuit paisible au bord du fleuve , merci Nadine et Willy de nous avoir permis de profiter une derniere fois de cet endroit fabuleux. Ici vue d’en haut c’est encore plus beau ( 2019) M’Futy 

Mardi 15 octobre

Direction Kinshasa, la boucle est bouclée ! Certes, avec quelques allers-retours et demi-tours, mais surtout une première partie de voyage inoubliable…La suite prochainement, avec un résumé de ce que nous avons aimé, beaucoup aimé, un peu moins, etc… et un nouveau voyage se prépare qui sera certainement bien différent et forcement très interessant car c’est bien connu :

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